Le paradoxe de l’ancien
Alors que le rythme annuel de progression du prix de l’immobilier ancien continue de ralentir et la marge de négociation de reculer, voilà que les ventes progressent ! Le site de référence seloger.com s’est penché que l’équation, en analysant régions, villes et chiffres concernés.
Selon les données récoltées par le baromètre LPI-SeLoger, le ralentissement de la hausse des prix immobiliers dans l’ancien se confirme. La hausse annuelle des prix des logements anciens se limite, en effet, à 3,4 % alors qu’elle atteignait 3,8 % en 2018, à la même période de l’année. Il n'y a qu’à jeter un coup d’œil à l’évolution des prix dans les grandes villes pour s’en convaincre, car comme le fait remarquer Michel Mouillart, porte-parole du baromètre LPI-SeLoger, « le ralentissement de la hausse des prix est maintenant général ». À Lyon (+ 5,9 %), par exemple, les prix progressent deux fois moins qu’il y a un an et à Bordeaux, la hausse annuelle (+ 3,9 %) est quatre fois moins rapide qu’en 2018, à la même époque !
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